Cet article fait partie d’une série d’articles autour de l’utilité ou la nécessité d’un signal prix élevé pour réduire drastiquement la circulation automobile. Eu égard à l’importance de la part des émissions de gaz à effet de serre dues à l’utilisation de l’automobile, une réduction drastique est en effet nécessaire pour atteindre l’objectif du facteur 4 (réduction par 4 des émissions de gaz à effet de serre des pays dit industrialisés d’ici 2050).
Les neufs pays sur laquelle nous portons notre attention sont les trois pays scandinaves (Danemark, Norvège, Suède), la Finlande et les Pays-Bas, tous réputés « écolos » ainsi que les trois grands pays européens : Allemagne, France et Grande-Bretagne.
En attendant de plus amples investigations sur le cas néerlandais, je vous propose cet article d’Attac Lille : Une autre monde est possible : étude de cas aux Pays-Bas.
Cet article ne répond hélas pas à la question suivante : pourquoi la part du diesel reste faible dans ce pays alors que le différentiel de coût des carburants est aussi important qu’en France, championne du monde du diesel ? Une réelle aversion pour les particules fines émis par les diesels ?
Bonne lecture.